Close Encounters, installation - 540 x 250 x 120 cm, 2016.
spaghettis n°5, fil nylon, peinture acrylique noire, tulle noir, éclairage néon
Close Encounters, c'est le quotidien et le jeu anodin d'une main vacante, le jeu d'une matière tantôt plastique, tantôt élastique, déformée puis reformée. L'entrelacs du jour et de la nuit, la combinaison d'éclats de rêves et de cauchemars en lambeaux. L'enchaînement de vieux symptômes et de nouvelles opportunités. L'incertitude des actions individuelles et de résultats collectifs qui se combinent. Le rapprochement des rencontres. Le jeu anodin qui se prolonge en activité à part entière. Les observations flottantes qui s'agencent, le décor qui s'ourdit, un récit qui rallie.
« Voici une publicité Panzani : des paquets de pâtes, une boîte, un sachet, des tomates, des oignons, des poivrons, un champignon, le tout sortant d'un filet à demi ouvert, dans les teintes jaunes et vertes sur fond rouge. [...] Aussi, se développent dans toute société des techniques diverses destinées à fixer la chaîne flottante des signifiés, de façon à combattre la terreur des signes incertains [...] » (R. Barthes).
BP
« Voici une publicité Panzani : des paquets de pâtes, une boîte, un sachet, des tomates, des oignons, des poivrons, un champignon, le tout sortant d'un filet à demi ouvert, dans les teintes jaunes et vertes sur fond rouge. [...] Aussi, se développent dans toute société des techniques diverses destinées à fixer la chaîne flottante des signifiés, de façon à combattre la terreur des signes incertains [...] » (R. Barthes).
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